Kiril de Jacquelin (BU), gérant de parisofia.com, société de traduction, 72 langues
Lorsque Marie-Hélène m’a demandé de raconter un souvenir avec Franck, j’ai commencé à faire un tri dans mes souvenirs d’il y a 20 ans. Je me suis replongé dans les aventures de Prométheus à Budapest, à Sofia ou encore à Erevan. Franck y était bien sûr omniprésent comme un fil rouge qui guidait toute ma jeune action politique. L’événement cependant le plus marquant de cette aventure européenne fut sans doute le week-end passé au Val Richer – La maison de campagne de la famille Schlumberger.
Toute l’équipe multinationale européenne était réunie pour faire une sorte d’assemblée générale du mouvement. Les finances n’étaient pas forcément au beau fixe (elles ne l’ont jamais été d’ailleurs) mais il se dégageait un esprit positif et de conquête absolument unique. Franck incarnait et insufflait cet esprit. Il était par excellence l’incarnation avant l’heure du « Yes we can ». Aucun obstacle ne semblait exister, rien n’était impossible. Seul comptait l’action citoyenne et la démocratisation de l’Europe. Il représentait un moteur tellement entraînant, surtout pour le jeune de 25 ans que j’étais. Ça n’avait rien à voir avec un optimisme béat, toute sa pensée était motivée par des convictions profondément ancrées et inébranlables. La certitude que l’Europe doit appartenir aux citoyens européens et non pas à des élites décisionnaires. Le présent démontre qu’il avait eu raison très tôt.
L’enthousiasme de Franck a été un moteur extraordinaire pendant 4 ans, puis il a fallu construire sa vie et nous nous sommes éloignés, mais cette période reste une leçon d’abnégation et m’a appris qu’avec conviction et opiniâtreté on pouvait obtenir des choses apparemment inaccessibles.
Kiril
Réunion de travail Prometheus-Europe, avec Franck Biancheri au Chateau du Val Richer
L‘optimisme de la volonté: “Les finances n’étaient pas forcément au beau fixe (elles ne l’ont jamais été d’ailleurs) mais il se dégageait un esprit positif et de conquête absolument unique”
Kiril de Jacquelin (BU), gérant de parisofia.com, société de traduction, 72 langues
Lorsque Marie-Hélène m’a demandé de raconter un souvenir avec Franck, j’ai commencé à faire un tri dans mes souvenirs d’il y a 20 ans. Je me suis replongé dans les aventures de Prométheus à Budapest, à Sofia ou encore à Erevan. Franck y était bien sûr omniprésent comme un fil rouge qui guidait toute ma jeune action politique. L’événement cependant le plus marquant de cette aventure européenne fut sans doute le week-end passé au Val Richer – La maison de campagne de la famille Schlumberger.
Toute l’équipe multinationale européenne était réunie pour faire une sorte d’assemblée générale du mouvement. Les finances n’étaient pas forcément au beau fixe (elles ne l’ont jamais été d’ailleurs) mais il se dégageait un esprit positif et de conquête absolument unique. Franck incarnait et insufflait cet esprit. Il était par excellence l’incarnation avant l’heure du « Yes we can ». Aucun obstacle ne semblait exister, rien n’était impossible. Seul comptait l’action citoyenne et la démocratisation de l’Europe. Il représentait un moteur tellement entraînant, surtout pour le jeune de 25 ans que j’étais. Ça n’avait rien à voir avec un optimisme béat, toute sa pensée était motivée par des convictions profondément ancrées et inébranlables. La certitude que l’Europe doit appartenir aux citoyens européens et non pas à des élites décisionnaires. Le présent démontre qu’il avait eu raison très tôt.
L’enthousiasme de Franck a été un moteur extraordinaire pendant 4 ans, puis il a fallu construire sa vie et nous nous sommes éloignés, mais cette période reste une leçon d’abnégation et m’a appris qu’avec conviction et opiniâtreté on pouvait obtenir des choses apparemment inaccessibles.
Kiril
Réunion de travail Prometheus-Europe, avec Franck Biancheri au Chateau du Val Richer
L‘optimisme de la volonté: “Les finances n’étaient pas forcément au beau fixe (elles ne l’ont jamais été d’ailleurs) mais il se dégageait un esprit positif et de conquête absolument unique”