Fulvio Caccia écrivain et directeur de L’Observatoire de la diversité culturelle , auteur de ” diversité culturelle , vers l’état-culture , ( éditions Laborintus, décembre 2017)
Je n’étais pas un proche de Franck Biancheri. C’est pourquoi mon témoignage sera bref.
Je retiens de Franck la clarté de son argumentation et la simplicité des solutions qu’il préconisait pour dénouer le nœud gordien européen. Je me souviens particulièrement de son récit sur les coulisses de la création des Bourses Erasmus. Avec son cortège de valse-hésitation et de méfiance, il nous faisait toucher du doigts les limites de l’État-nation dans la construction européenne. L’état-nation a épuisé depuis belle lurette, il est vrai, le combustible de la modernité qui l’alimentait. Avec d’autres Franck nous a fait comprendre qu’il était urgent de passer à l’étape suivante : une Europe politique , non plus tentée par les fantasmes de son passé impérial mais bien axée sur ses cultures. C’est pourquoi je me suis engagé dans le mouvement des Newropeans lors des élections de 2009. Ce fut mon premier baptême électoral et un échec magnifique qui m’ont permis de mesurer le travail à faire pour implanter un véritable parti transeuropéen. A cet égard le travail de Franck Biancheri et du mouvement des Newropeans, ont valeur d’exemple. A sa manière Franck a été un pionnier. A quand un véritable parti européen dont la clef de voûte sera la diversité culturelle ? 2019 ? Grâce lui soit rendue.
Fulvio Caccia
Post scriptum . Je publierai en décembre à cet égard un essai « Diversité culturelle, vers l’état-culture, aux éditions Laborintus
Fulvio Caccia en campagne pour Newrop2009 (crédit photo MRC)
Fulvio Caccia écrivain et directeur de L’Observatoire de la diversité culturelle , auteur de ” diversité culturelle , vers l’état-culture , ( éditions Laborintus, décembre 2017)
Je n’étais pas un proche de Franck Biancheri. C’est pourquoi mon témoignage sera bref.
Je retiens de Franck la clarté de son argumentation et la simplicité des solutions qu’il préconisait pour dénouer le nœud gordien européen. Je me souviens particulièrement de son récit sur les coulisses de la création des Bourses Erasmus. Avec son cortège de valse-hésitation et de méfiance, il nous faisait toucher du doigts les limites de l’État-nation dans la construction européenne. L’état-nation a épuisé depuis belle lurette, il est vrai, le combustible de la modernité qui l’alimentait. Avec d’autres Franck nous a fait comprendre qu’il était urgent de passer à l’étape suivante : une Europe politique , non plus tentée par les fantasmes de son passé impérial mais bien axée sur ses cultures. C’est pourquoi je me suis engagé dans le mouvement des Newropeans lors des élections de 2009. Ce fut mon premier baptême électoral et un échec magnifique qui m’ont permis de mesurer le travail à faire pour implanter un véritable parti transeuropéen. A cet égard le travail de Franck Biancheri et du mouvement des Newropeans, ont valeur d’exemple. A sa manière Franck a été un pionnier. A quand un véritable parti européen dont la clef de voûte sera la diversité culturelle ? 2019 ? Grâce lui soit rendue.
Fulvio Caccia
Post scriptum . Je publierai en décembre à cet égard un essai « Diversité culturelle, vers l’état-culture, aux éditions Laborintus
Fulvio Caccia en campagne pour Newrop2009 (crédit photo MRC)